UP TO ME

E X P L O R E R L A F O L I E

S Y N O P S I S

Milan et Nola ont vingt ans et ils se sont promis de s’aimer jusqu’à la mort. Comme la plupart des enfants de leur génération, ils ont tout essayé, tout vécu, trop jeunes, trop tôt, trop fort… C’est pour ça qu’ils sautent ensemble d’un pont un soir de juillet. A l’Hôpital psychiatrique où on les a conduits après cette tentative ratée, ils font la connaissance d’un vieux schizophrène qui se prend pour le danseur Nijinsky et qui dansera son dernier ballet avec eux, en cavale dans les rues de Paris…

T E A S E R

Up to me

27 min – France – Février 2015

Autrice, réalisatrice – Dorine Hollier

Musique originale Étienne Gauthier

Prod – Les films Baltazar

E X T R A I T S

extrait I

Casting

Jules Ritmanic – Milan

Pénèlope Lévèque – Nola

Jacques Frantz – Nijinsky

Helena Noguerra

Astrid Bergès-Frisbey

Méliane Marcaggi – Malva

Pauline Sylvestre – directrice de production

Hugo Le Gourrierec – 1er assistant mise en scène

Julien Forest – 2nd assistant mise en scène

Sandra Toccafondi – scripte

Fabrizio Fontemaggi – chef opérateur

Stella Libert – 1ère assistante opérateur

Christophe Galvan – chef électricien

François Tille – chef machiniste

Frédéric Du Chaxel – chef décorateur

Thomas François – ingénieur du son

Kevin Bally – perchman

Christian Holl – chasseur de sons

Laurence Forgue – chef costumière

Nathalie Kovalski – chef maquilleuse

Perrine Prieur – monteuse

Etienne Gauthier – compositeur musique

W O R K

Avec Dorine Hollier une belle partenaire de création, nous avons exploré le fantomatique, la folie. Deux titres majeurs dont une chanson m’ont particulièrement plu à créer. « Nola’s song » cf extrait I créé spécialement pour ce film, Dorine pour le texte et moi la compo. La mélodie du refrain devait être étrange, céleste. J’ai souhaité un refrain qui se délite, une chute en douceur. Aidé par la grâce, la sensibilité d’Helena NOGUERRA et Pénélope ROSE, qui ont interprété cette pop song / guitare voie avec une grande délicatesse. Merci a Tanel DERARDO pour son jeu de guitare.

Et et et ! il y a aussi « Déambulation » cf extrait II. Comme son nom l’indique, c’est une perte de perception du réel. Ce titre est construit comme une tour de Babel avec des flash musicaux formant un tout, fulgurances d’une voie lyrique, des violons hachés, des voix trafiquées , tout un monde fou !

UP TO ME ! J’ai travaillé l’acoustique, et l’électronique